Si vous vous sentez anxieux, stressé ou déprimé, n'utilisez pas de truffes jusqu'à ce que vous vous sentiez à nouveau bien. Avant la découverte du nouveau monde, les oies étoient extrêmement communes en France et dans les autres parties de l’Europe ; et il n’y avoit guères de repas un peu splendide où cet animal ne parût avec intérêt sur nos tables. Au reste, la chair et la graisse d’oie servent aux mêmes usages que celle de porc, dans la majeure partie de la France ; le journalier en fait la soupe toute l’année, et le riche en assaisonne les mets délicats qui couvrent sa table. Après avoir été longtemps villes impériales, elles furent réunies toutes trois à la France en 1552 par Henri II; le traité de Cateau-Cambrésis (1558) et celui de Westphalie (1648) lui en confirmèrent la possession. Pour la première fois, la très rare et très chère truffe blanche d’Italie a été produite en dehors de son ère géographique d’origine. Je recherche donc avec mon chien ZAOU (maintenant à la retraite) la truffe de Bourgogne et la truffe Mésentérique d'octobre à janvier.
Après les fêtes, il me restait un pot de sauce tartufata, en gros des champignons avec de l’huile de truffe. Il en existe tout au plus trois à quatre, à Strasbourg, qui jouissent à cet égard d’une grande réputation ; ils envoient de ces pâtés jusqu’à Pétersbourg, et font entrer dans leurs comptoirs plus de cinquante mille écus par an : ces foies, remplis d’une graisse fine et délicate, conservent le parfum des aromates dont on assaisonne les pâtés, parmi lesquels la truffe du Périgord joue le premier rôle. Nous devons ces détails d’économie domestique à M. Puymaurin, dont tous les délassemens ont un objet d’utilité générale. Pommes de terre qui devait remplacer ceux de Truffes ou de Patates, ensuite des indications suffisantes pour nous apprendre que depuis un certain nombre d’années la culture de notre Solanée avait fait d’assez grands progrès. L’oie rôtie est un manger délicieux ; on la sert en Languedoc sur les meilleures tables ; la classe la moins aisée, qui en fait la plus grande consommation, divise cet oiseau en quatre quartiers ; elle fait la soupe avec un de ces quartiers, comme avec du bœuf, et rissole ensuite l’oie à la casserole avec des pois, des fèves, des pommes de terre ou autres légumes, ce qui fournit un plat très-copieux et très-nourrissant ; mais il faut qu’elle ne soit ni trop jeune, ni trop vieille ; dans le premier cas, la chair est trop muqueuse ; dans le second, elle est trop coriace, trop sèche, pour être mangée.
Les animaux au contraire sont plus généralement répandus ; les uns habitent la surface ; les autres l’intérieur de la terre : ceux-ci vivent au fond des mers ; ceux-là les parcourent à une hauteur médiocre. 1. Dans le bol d’un robot culinaire, mélangez par pulsation les noix de macadamia crue avec 1 ½ tasse de noix de coco jusqu’à obtenir une pâte onctueuse. La fécondité de l’oie est connue ; elle fait beaucoup et de gras œufs ; ils sont moins bons que ceux de poule, et servent peu, par conséquent, à la cuisine ; mais on a remarqué qu’ils pouvoient être employés avec avantage dans la pâtisserie, si on ne les destinoit de préférence à la couvaison. Le Bœuf salé doit être trempé assez longuement à l’avance ; on le cuit ensuite à grande eau, à raison de 30 minutes au kilo. Mettre la composition dans un moule à charlotte beurré ; la pocher au bain-marie, et laisser reposer pendant quelques minutes avant de le démouler.
Les peaux et les membranes qui restent sur la passoire sont également mises dans des pots, pour en faire, pendant l’été, les soupes des gens de la ferme. Quoiqu’on ne les vende ensuite guères plus cher qu’on ne les a achetées, elles laissent cependant pour profit à la ferme leurs plumes et leurs duvets, et sur les champs où elles ont pâturé, l’engrais de leurs excrétions et celui qu’elles laissent dans les étables où elles passent la nuit, et qui, quoi qu’on en dise, n’est pas, moyennant quelques soins, nuisible aux champs et aux prairies. Par une autre méthode, l’oie est salée crue : après avoir coupé la viande en demi-quartier ou l’équivalent, on presse en tous sens un morceau contre le sel égrugé comme du gros sable, et bien sec, et on le place dans le pot avec le sel qu’il a pu prendre ; on continue ainsi, morceau par morceau, ayant le soin, en les plaçant, de les presser fortement les uns contre les autres, et contre les parois du pot, pour ne laisser de vide que le moins possible. Les oies gorgées donnent des foies très-volumineux qui pèsent quelquefois jusqu’à une livre et demie ; ils sont d’un blanc pâle, et très-délicats ; cependant ils ne valent pas, pour le goût, les foies de canards.